Expulsion sans frontière
La résistance s'organise dans notre pays et saluons la naissance du Collectif Expulsion sans
frontière
Interview sur Novopress d'u fondateur
NP : Vous lancez lundi 6 janvier le Collectif Expulsion Sans Frontières, de quoi s’agit-il exactement ?
Tout est dans le titre ! Notre sol est occupé actuellement par un nombre indéfini d’immigrés clandestins, mais que les estimations les plus basses fixent à 300 000. Selon les jours, ce sont des
centaines ou des milliers de clandestins qui violent nos frontières.
Face à cela, les différents gouvernements ont jusqu’alors fait preuve du plus grand laxisme, puisqu’on expulse chaque année moins d’immigrés clandestins qu’il n’en est rentré durant le même laps
de temps.
Notre Collectif, le CESF, se fixe donc un premier objectif lequel est, dans le cadre de la loi, de soutenir toutes les actions, toutes les procédures, toutes les enquêtes, permettant d’expulser
un immigré clandestin.
Mais nous n’entendons pas nous en tenir là. En effet, pour combattre efficacement l’immigration clandestine, il faut agir sur deux autres fronts.
Le premier n’est pas de notre ressort. Il s’agit des mafias qui moyennant finances font entrer chez nous ces clandestins. Il s’agit là d’un travail de police.
Le second, en revanche, relève de tous les citoyens. Il s’agit des groupes de soutien à l’immigration clandestine. Au premier rang de ceux-ci, on trouve le Réseau Education Sans Frontières. Ce
groupuscule viole les lois de la République française et notamment l’article L622-1 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile qui stipule : “Toute personne qui aura, par
aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irréguliers, d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de
30 000 euros.” Nous entendons donc mener une campagne d’information auprès du plus large public et notamment des parlementaires, pour obtenir la dissolution de ce groupe et, le cas échéant, la
condamnation de ses membres ou de ses sympathisants qui auraient contrevenu aux lois.
NP : Faire la chasse aux immigrés clandestins, pour reprendre une terminologie gauchiste, est-ce une priorité pour la mouvance identitaire ou nationale
?
Pour nous, ce qui est prioritaire est de prendre toujours et encore l’offensive. De ne plus subir. Notre initiative est née à Beaune, en novembre dernier, lors de la Convention Identitaire. Deux
personnes dans la salle se sont émues de l’action des gauchistes du RESF. Depuis des années, la presse de droite, nationale ou pas, pleurniche de longs articles à ce sujet. La grande presse
consacre d’importants reportages ou articles à leurs actions qui souvent ne rassemblent pas 500 personnes. Nous, nous avons décidé d’agir, avec nos moyens. Nous sommes persuadés que le Collectif
peut avoir un écho immense dans le pays. Qu’on soit Identitaire, FN, MNR, MPF ou UMP, ou qu’on ne soit encarté nulle part, il y a un ras le bol général de l’immigration clandestine et un dégout
profond envers les groupes comme le Réseau Education sans Frontières qui violent les lois. Nous allons offrir, cas après cas, la possibilité à ces gens d’agir de manière concertée. A chacun alors
de se mobiliser en conscience. Les militants du RESF essaient de pourrir la vie des policiers, des employés des préfectures, des douanes. Nous apporterons notre soutien à ces fonctionnaires et
nous ferons savoir aux gens du RESF ce que les Français pensent d’eux…
NP : Quelles sont les motivations du RESF, selon vous ?
On y trouve de tout et, en fait, pas tant de monde que ça. Du vieux gauchiste à poil dur comme des lycéens manipulés, sans oublier des artistes qui jouent à la charité. La Comtesse de Ségur avait
ses pauvres, les Carole Bouquet et autres Emmanuel Béart ont leurs immigrés clandestins. Mais derrière cette fausse charité, cet humanisme de pacotille, on trouve quatre choses. D’abord, la haine
de notre identité nationale. Dans ce contexte, pour certains de ces gens là, il faut toujours et encore plus d’immigrés clandestins. Ensuite, une sorte de pathologie politique qui se traduit par
l’emploi d’un vocabulaire complètement fou : pour certains, la police de Sarkozy conduirait des rafles dignes de Vichy ! Puis, l’incapacité pour tous ces gens de se rendre compte que la misère
existe en France, qu’elle touche souvent des Français de souche, et qu’ajouter de la misère à la misère, relève d’une grave irresponsabilité. Enfin, la plupart de ces gens qui se disent de gauche
ne veulent pas voir que les premiers satisfaits de l’arrivée de clandestins sont les patrons voyous avides à la fois d’une main d’œuvre exploitable au noir mais aussi d’une main d’œuvre
régularisable capable de faire pression à la baisse sur les salaires.
NP : Un vœu pour cette année qui commence ?
Oui, un maximum d’expulsions et l’interdiction des groupes gauchistes de soutien.
NP : Pour en savoir plus sur vous ?
Il suffit d’aller sur notre site web : http://www.expulsionsansfrontieres.org/