Maîtres chez nous !
La décrépitude de la société française se poursuit
inexorablement; ici à Grenoble, on tue pour un regard, la bas à Marseille, des riverains excédés éjectent des roms manu militari du terrain qu'ils occupaient. On voit bien
qu 'en l'absence de toute volonté politique en matière de sécurité, la loi de la jungle s'installe petit à petit dans notre pays.
Ne connaissant que trop bien le décallage entre les paroles et les actes chez les politiciens du sérail, la découverte tardive par Copé du racisme antiblanc ne saurait nous duper. Enfin, que dire du petit garçon qui nous sert de président et de ses amis de maternelle? Personne ne croit une seconde qu'ils puissent régler les problèmes liés à l'insécurité, ni au chômage galopant et à la dette gigantesque.
Quant au FN, malgré ses concessions au système, il végète dans une opposition quasi-stérile et au final, maigre victoire, il se retrouve représenté à l'assemblée nationale par un franc-maçon et une gentille petite étudiante.
Cependant faudrait-il se decourager ?
Certainement, il en faudra encore un peu plus pour que nos compatriotes sortent de leur léthargie. Mais ici et là des signes d'espoir apparaissent; l'imposture démocratique se fait jour aux yeux de nos contemporains et des mouvements de protestation apparaissent. Ainsi les jeunes nationalistes manifestent malgré l'interdiction préfectorale pour dénoncer la politique antinationale menée depuis 40 ans et ses effets déplorables si criants aujourd'hui.
Pourtant, comme toujours, c'est dans notre propre camp, celui des nationaux, que se font les oppositions les plus délétères. Alors que le communautarisme est en train de faire éclater notre sociéte, il est étrange de voir ici et là le nationalisme considéré comme un péché car ce sont bien les nations catholiques qui s'avèrent être le ferment de l'universel chrétien.