Un gouvernement anti-catholique
A la lumière des derniers soubresauts de l'actualité, un sentiment étrange semble nous envahir, comme si ce monde touchait à sa fin, comme si des événements et terribles allaient bientôt bouleverser notre quotidien. On en ressent les prémices depuis quelques mois mais depuis peu, tout s'accélère ; hier à Paris des milliers de sauvages déversaient leur haine injustifiée en brulant sur leur passage les voitures, dégradant les vitrines et faisant le coup de force avec la police, il y a 3 jours à Avignon cinq magrébins tabassaient consciencieusement un français de souche dont les seuls crimes étaient d'être un religieux catholique et de refuser de se laisser voler son téléphone portable. Il ne se passe pas de semaine sans que des églises ou des cimetières catholiques sont vandalisés . A cet égard le silence des pouvoirs publics apparait étonnant alors que le moindre graffiti sur une mosquée ou une synagogue entraine des déclarations scandalisées et vertueuses. Dans le même temps des citoyens pacifiques portant un tee shirt de la MPT se retrouvent en garde à vue.
Car finalement, c'est cette conjonction du laisser faire du gouvernement en matière de sécurité et d'un " deux poids - deux mesures au détriment des français et des catholiques en particulier qui nous rappelle le front populaire espagnol de 1936 .
Nos lycéens, copieusement désinformés, ont appris que Franco était un tyran sanguinaire soutenue par une église omnipotente et que la république de Francisco Largo Caballero était démocratique, sociale, sympathique en tout point . C'est oublier un peu vite, les 20 000 prêtres assassinés dans des conditions abominables, les églises pillées, les meurtres des opposants, le vandalisme, toutes horreurs de la terreur rouge que le gouvernement a laissé faire sans broncher.
N'oublions pas les leçons de l'histoire même si elle ne ressert pas les plats. Il ne faut pas être naïf; le pouvoir en place est violemment anti-catholique; il le prouve et tous les moyens sont bons pour lui pour arriver à ses fins; on le voit déja.