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Eclairage

Les guerres programmées

1 Mars 2009, 20:35pm

Publié par Simon Duplessis



On croit mourir pour la patrie; en fait c'est pour le plus grand profit des banquiers ...
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O
Avez vous remarqué comme on ne parle plus du tout des paradis fiscaux ? Et pour cause, sans eux et la flopée de malfrats qui en profitent , le Etats eux même ne pourraient plus fonctionner et faire transiter des sommes considérables pour agir dans des manoeuvres peu avouables auprès d'intermédiaires, clients, fournisseurs etc etc.. Ne doutons pas que le temps aidant, le business reprendra comme avant avec d'autres mafieux de tous bords pour le plus grand bien d'une minorité d'initiés.Have fun !
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O
Pour O'tant : c'est tout-à-fait ça! Bravo!!!
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O
En renflouant les banques par des aides d'Etat, c'est un véritable hommage des gouvernements aux techniques modernes de la finance qui pratiquent en dernier ressort le principe de la titrisation : faire payer non plus aux seuls investisseurs en bourse le risque financier mais à tout le monde ! Bravo messieurs les banquiers et chapeau les gouvernants pour avoir si bien compris comment cela fonctionne !Allez braves citoyens, au boulot, il y a des dettes à rembourses, des retraites à financer et des déficits à combler alors pas de temps à perdre.Ce n'est pas parce que les bonus tombent qu'ils faut y croire.
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W
Sir Fred Goodwin, banquier n° 1 puis ennemi public n° 102/03/2009 13:15Sir Fred Goodwin fut trois années de suite élu «homme le plus puissant d'Ecosse». Le patron déchu de Royal Bank of Scotland crée aujourd'hui des remous jusqu'au somme de l'Etat britannique. En cause ? Le montant de sa pension, auquel il tient comme à la prunelle de ses yeux. L'homme est désormais l'ennemi public n° 1 du Royaume-Uni. La rumeur le voit prendre la présidence de la Formule 1 mondiale ? Les couteaux sortent de leur fourreau et les anathèmes fusent...La presse populaire britannique s'est trouvé un nouvel ennemi public n° 1 en la personne de Sir Fred Goodwin, 50 ans, ancien CEO de Royal Bank of Scotland, qui a affiché jeudi dernier des pertes annuelles abyssales de 27 milliards d'euros. Un record pour une société britannique...Renflouée avec l'argent de l'Etat, majoritaire à son capital depuis le premier plan de sauvetage de Gordon Brown cet automne, RBS a pourtant accordé à son ex-patron, parti en octobre, une retraite confortable : près de 700.000 livres par an (784.000 euros). Soit 13.300 livres par semaine ou 1.900 livres (2.130 euros) par jour, s'indignent les journaux britanniques, qui consacrent leur Une à cette affaire.source : TrendsEt Goodwin est ? ... portugais gagné...
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